Dans un pays peu favorable à l’interdisciplinarité, Théophile Alexandre a choisi d’associer sa voix de tête (longtemps inassumée) à sa passion pour la danse.

Chef permanent de l’opéra de Lyon depuis 2008, Kazushi Ōno dirigera deux des trois opéras programmés lors du Festival Britten.

Le centième anniversaire de sa naissance permet de réveiller la mémoire de Benjamin Britten, compositeur fécond et inventif.

Dix ans après Pomaïe Klokochazia balek, Nosfell se réinvente avec Amour massif, son 4e album studio. Rencontre avec un troubadour des temps modernes, en concert à Paris le 26 mars, à La Maroquinerie. 

DOSSIER | Accords et désaccords : Rencontre avec Isabelle Bozzini, co-fondatrice du Quatuor Bozzini établi à Montréal depuis quinze ans. Spécialisé dans la musique de création, ce quatuor à cordes collabore étroitement avec les compositeurs, les grands maîtres comme les plus jeunes. À mi-chemin entre la résistance, l’activisme et la passion, la violoncelliste - forte d’une vocation affirmée pour ces musiques nouvelles - nous offre ici ses réflexions sur la création contemporaine, la place de la musique et le rôle des musiciens dans le monde d’aujourd’hui.

DOSSIER | Accords et désaccords : Vincent Manac’h, compositeur, privilégie l’étroite collaboration avec les interprètes et l’ouverture aux autres disciplines.

DOSSIER | Accords et désaccords : Avec Chantier Woyzeck, Aurélien Dumont s’inspire à la fois de la pièce de Büchner et d’un tragique fait divers pour construire un opéra contemporain.

DOSSIER | Accords et désaccords : Malgré quelques avancées, la musique contemporaine continue de susciter le malaise chez une grande partie du public et bon nombre de musiciens de tradition classique. NoMadMusic se propose de donner la parole à quelques acteurs engagés du milieu musical de la création contemporaine :  Aurélien Dumont, Simon Martin, Isabelle Bozzini, et Vincent Manac'h.  

DOSSIER | Accords et désaccords : Conditions d’écoute inconfortables, rareté des prestations peu propice à la compréhension des œuvres, déficit d’images - a priori défavorables -, la musique d’art  demeure mal aimée.