« A la seule lecture du programme de cette Messe imaginaire conçue par Nicole Corti, on s’interrogeait sur l’irruption des motets du très catholique Bruckner entre les différentes parties de la Messe à double chœur du très calviniste Frank Martin. A l’audition pourtant, ces univers en théorie très dissemblables se côtoient harmonieusement. […] La ferveur simple convoquée par l’auteur de Golgotha dans les années 1920 est bien rendue par une battue souple et régulière à la fois, calibrée à merveille pour l’écriture ».
3 étoiles Classica pour « Une Messe imaginaire »
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