« Voici des œuvres de la maturité que Schubert composa peu avant de disparaître, qui s’inscrivent dans le droit fil du chemin tracé par Beethoven ; l’admirable trio pour piano et cordes plein s’allant voire de fougue même, finement distillé par le Trio Talweg qui a vu le jour en 2004 et qui a trouvé toute sa place parmi les meilleurs chambristes de notre temps. [Dans le Notturno D.897] les notes piquées du piano contrastent avec les langoureuses mélodies exaltées tout en douceur par les cordes. Chefs d’œuvre que ces pages que le Trio Talweg met remarquablement en valeur, dans l’esprit des « Schubertiades » viennoises. »
Philippe Gut – Operamusiclassic